Balade au potager de l’occupation – 2/3 – Topinambours et doryphores

Que cultiver en priorité dans un potager quand l’époque est à la pénurie ?

Avec l’historien Cédric Delaunay, et des jardiniers de La Gloriette (Tours-37) : Joël et Simon. Première diffusion : 2014.

2 réponses sur “Balade au potager de l’occupation – 2/3 – Topinambours et doryphores”

  1. Ravis de cette double émission qui non seulement remet un peu en perspective ce que les gens commence à voir comme régression ce qu’on tente de nous montrer comme du pas d’bol météorologique économico-crisièsque, mais redonne aussi un peu d’existence et de légitimité à la culture vivrière (dont la notion de souveraineté est enterrée depuis Marchall) et une existence concrète en terme d’alimentation végétale, car il ne faut pas oublier trop vite que le « tout animal » viande+poisson+lait+oeufs fait partie des mensonges capitalistes et industriels pour asservir encore plus les pays et les producteurs à une exploitation effrénées infiniment gaspilleuse et non nécessaire (sauf pour le porte monnaie de ceux qui tirent les rênes, bien entendu)
    La symbolique de l’absence de ces aliments durant les périodes de pénurie vient entre autre du fait de leur haute valeur marchande, et donc de leur caractère ostentatoire en terme de richesse, de confort et de sécurité aussi bien à l’échelle d’une famille que d’une nation. (ce n’est pas pour rien que la Chine ou le Japon foncent tête baissée dans ce marcher-là, alors qu’ils ont très bien vécu sans durant des millénaires)

  2. Tu forces un peu le raccourci V3nom, il y avait de l’élevage familial depuis des lustres cependant il exact de préciser que les gens n’en mangeait que très peu. La  » science  » n’était pas encore passé par là en transformant veau, vache, cochon, couvée en potentiels vainqueurs du tour de France.

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