Le revenu minimum pour tous n’est pas une utopie. Puisque la « dette » n’existe pas.

Liberté-Déviation-Travail-Autour de l’article du Monde Diplomatique : Imaginer un revenu pour tous.

Il y a assez de richesses pour accorder un revenu à tout le monde. Que l’on travaille, ou pas.

Nombre d’utopies d’hier sont devenues des réalités. Comme la retraite ou la Sécurité Sociale…

Merci à Duval MC ! – (Première diffusion : mai 2013).

A écouter aussi : Des sous il y-en a, aux impôts nous on sait ça. Et la série La dette n’existe pas.

Fraude fiscale en France : Au moins 80 milliards d’euros par an ! (Chiffre donné par Monique Pinson-Charlot au 13h de France Inter). Pour une « dette » qui se creuserait de 100 milliards par an.

Sans parler des dizaines de milliards de cadeaux faits chaque année au capital pour des emplois non créés…

Au total plus de 100 milliards d’euros, (voire bien plus ) qui chaque année filent dans des « paradis fiscaux » et ne rentrent pas dans les caisses de l’Etat.

La « dette » n’existe pas.

Manif du 17 mars 2016 – L’Histoire reste un sport de combat

Maréchal Hollande-Travail Travail TravailAprès des années d’absence, les jeunes sont de retour dans la rue !

Contre la destruction de la société, et notamment contre la Loi Travail et Rétablissement Progressif de l’Esclavage.

Cette jeunesse de 2016 semble plus lucide et plus vive que de précédentes fournées.

Cette jeunesse réfléchit. Expose. Se réfère à l’Histoire ! Propose.

Et n’a pas peur d’utiliser des mots – encore tabous il y-a peu – , comme peuple, égalitédémocratie, République, citoyencapital, patron, riche, pauvre

Face à cette nouvelle trahison du PS, des jeunes de 2016 serait-ils en train de réinventer… la vraie gauche ?

A écouter : Résister c’est créer. Créer c’est résister et Vive le CNR, le Conseil National de la Résistance !

A lire : On bloque tout !

Radio Garage – Episode 1/3 – 1984, dans une si tranquille petite ville de province…

Radio Emetteur1981 : Législation sur l’autorisation d’émettre de radio libres. A une époque sans internet, sans ordinateur, sans téléphone portable, une radio, c’est quelque chose !

1984 : Virés d’une radio associative, quelques excités de province improvisent, dans un garage, une nouvelle radio qui n’est pas encore devenue Radio Béton, désormais 93.6 à Tours. Ville dont le légendaire Jean Royer fut maire pendant 36 ans. (Vidéo).

Plongée dans l’atmosphère d’une moyenne ville de la France du siècle dernier, dans un pays à peine sorti des années Giscard et de la courte illusion Mitterrand. Fin des utopies, cynisme sur fond de crise et retour progressif des esprits vers la vrai droite.

Des promesses du PS de 1981, il ne reste plus aujourd’hui que des radios libres… où des animateurs de robinets à musiques sans message n’ont parfois plus grand chose à dire, et encore moins à revendiquer…

Même avec des ancêtre « alternatifs », les « musiques actuelles » ne sont pas forcément libertaires ou « de gauche »…

Radio Garage – Episode 2/3 – Insolente et cynique, la préhistoire de Radio Béton

TSF-1931-Tsf qu'il vous faut1986 : Les promesses de gauche du PS sont trahies depuis 1983… Agonie des utopies. No Future en promo, époque cynique, flash, fluo, synthé, clip, fric… et post-punk.

Après avoir été éjectés d’une précédente radio par des gauchistes – qui, de plus, ont volé le matériel – , les insolents fondateurs de ce qui n’est pas encore Radio Béton vont conserver une méfiance paranoïaque vis à vis de tout le monde, et notamment des gens de gauche, militants, de ceux qui ont la prétention de faire des phrases (parfois même avec des mots)… Parano anti-intellos déguisée en « punk attitude ».

Le traumatisme de la trahison dont les pionniers de Radio Béton ont été victimes, pose les bases de 30 années de dysfonctionnement associatif clanique et stalinien guère propice à l’évolution et au travail radiophonique. Une hermétique tribu de gardiens de la chapelle punk-rock contrôle un temps l’outil, qui, au fil du temps, va muter en robinet à musiques de moins en moins révoltées, à l’image des époques traversées. LE combat fondateur, c’était d’écouter des ziziques dites « non commerciales ». Même si ces musiques « alternatives » se vident progressivement de leur sens, et deviennent des produits de consommation après avoir été, elles aussi, récupérées par le business.

De toute façon, depuis l’autorisation des radios libres – et à par éventuellement tenter d’être drôle sans toujours y parvenir – plus personne n’a plus rien à dire  : 68 et les revendicatives années 70 sont terminées depuis longtemps. Consuméristes, égocentrées, désabusées, les années 80 marquent le début de la fin de l’espoir…