Concert de casseroles de 33 minutes.
Puis, à partir de 33 minutes : Conversation avec Catherine, manifestante avec sa pancarte, ci-contre.
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Radio-Manif – Lundi 17 Avril – Concert de casseroles !
Ce n'est qu'un combat ! … Continuons le début !
C’est de loin la meilleure émission de Polemix, je veux bien sûr parler du concert de casseroles !
…
Réponse : Oui ! Absolument ! Je me faisais la réflexion hier soir en enregistrant les casseroles : Honnêtement, en 30 ans de radio, c’est ma meilleure interview, celle où tout est dit, sans avoir besoin de dire quoi que ce soit ! Les gens ont du talent !
Jibédé.
Salut camarade, en tant que fan de noise music, j’ai vraiment aimé ce long moment « d’hymne révolutionnaire », ça m’a rappelé quelques bons moments aux « Instants Chavirés » de Montreuil, après avoir franchi le périph’, mais en plus déglingo et farouche !
Quant à Catherine, c’est tout juste si elle me tendait un miroir, on a un vécu assez semblable et elle le raconte franco de port, sûrement l’une de tes meilleures interviews mais je pense que tu n’es pas au bout des surprises ! Le montage du début est une excellente intro à cette émission et j’entends résonner « la sociologie est un sport de combat » de Pierre Carles au fonds de ma tronche masquée. Pour chaque main, un pavé !
PS : Pôle Emploi ou The great bullshit jobs swindle, « visé par une information judiciaire depuis 2014, pour harcèlement moral ».
Au plaisir de t’écouter encore et encore Jibédé !
Si tu recroises Catherine, fais-lui un bécot de ma part et des franc comtois récalcitrants. Des fois pas besoin de faire d’études pour piger l’embrouille (et de moins en moins, puisqu’en face ça ne relève pas des hautes études non plus niveau cerveau).
Planant le trip casseroles.
Merci pour cette émission qui donne bien l’ambiance de l’après décision du Conseil Incestuel (des vieux schnoks et repris de justice). Au delà des « connards antivax », qui avaient bien senti l’arnaque du virus surestimé et de l’injection en force du Capitalvid-19.
On est tous finalement un peu connard après cette bataille, à vouloir fétichiser le patronnat, les retraites ou les syndicats alors que les ennemis, le radicalisme, la victoire et la liberté sont sûrement ailleurs.
Nous reste à retourner chez nous en attendant des jours meilleurs pour la prochaine grosse lutte pour la survie.