Rencontre avec Camille, l’une des animatrices de Radio Klaxon, la radio pirate de la ZAD…
Dans ce coin de Loire Atlantique, Klaxon émet sur le 107.7, la fréquence que la mafia multinationale VINCI utilise sur les autoroutes volées aux Français…
Encore un vol de bien commun commis avec la complicité de politiques de tous bords.
Du 18 juin 1940, en passant par les radios pirates des années 70 et 80, Radio Klaxon est un nouveau chapitre de la longue Histoire de la radio comme instrument de résistance, de lutte, d’humanisme, d’espoir et d’amour…
Bon, Klaxon n’émet pas très fort ces jours-ci… mais c’est l’un des charmes des radios pirates.
Les autres épisodes de cette série sont ici.
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Merci beaucoup pour cette serie de reportages ! Elle m’a fait decouvrir la ZAD et ses habitants, que je ne connaissais bien mal qu’a travers les ragots !
Salut jbd mon héro hertzien !
Aout période propice à l’écoute attentive de mon popopo préféré en extrayant mes tonnes de miel, me fait avancer plus loin, encore une fois, dans ma réflexion et ma construction personnelle.
Le parallèle entre ce que vivent les zadistes et ce que je vis dans ma zone » lemurienne » (comprenne qui pourra) c’est le faire tout soi même et ne rien délester ,plutôt que déléguer. Ça fait qu’on est responsable de tout et même parfois d’enfreindre la loi quand on sait que seul soi même peut agir et est responsable de ses actions.
Un des mots que j’utilise pour définir ce que je fais et les conditions dans lesquelles je le fais, partir de zero : une terre agricole abandonnée, y construire en totale auto construction une ferme apicole, c’est la liberté. Et la liberté d’être paysan en tant qu’un des derniers espaces de liberté dans notre société. Et en fait en ecoutant ta conversation avec camille je me rend compte que cette notion de liberté est intimement reliée à cette valeur qui est la responsabilité.
Quand on est responsable réellement de ses actes au final on est libre. Et je crois que c’est ce que je vis et que vivent mais collectivement, ce qui n’est pas « encore » le cas chez moi, les zadistes!
Adio Companero.