Eau secours ! – Épisode 2 – Philippe Boisneau – Sans le vivant non-humain, il n’y aura plus d’humains

Présidentielle de 1974 : René Dumont, tout premier candidat écologiste, apparait à la télévision, un verre d’eau à la main : « Nous allons bientôt manquer d’eau. C’est pourquoi je bois devant vous un verre d’eau précieuse, puisque avant la fin siècle, si nous continuons un tel débordement, elle manquera ».
A l’époque, à peu près tout le monde s’était moqué de ce farfelu…

Suite de notre conversation avec Philippe Boisneau ; scientifique, spécialiste de l’eau et des poissons, pêcheur professionnel de Loire, et l’un des 190 membres du Comité de bassin Loire-Bretagne.

En écoute : Nos reportages sur le criminel scandale des méga-bassines.
Et nos émissions sur l’anthropocène et le capitalocène.

Eau secours ! – Épisode 1 – Philippe Boisneau – Pêcheur professionnel de Loire

La situation de l’eau douce et potable est dramatique. Effrayante.
On l’a notamment vu au cours de cet épouvantable été caniculaire 2022, qui annonce les étés à venir ; ça pue « la fin du monde »… Du nôtre en tout cas…
Non seulement l’eau douce est pourrie par des poisons industriels.
Mais elle manque. Et va de plus en plus manquer. Or, sans eau : Pas de vie.

Sans tout le vivant non-humain, l’être humain n’est plus rien.
Sans eau. Sans air. Sans sol. Sans plantes. Sans les autres animaux (que nous, animaux dégénérés par le capitalisme), sans tout le vivant non-humain, le prétendu sapiens-sapiens (qui ne sait rien) va disparaitre. On l’aura bien cherché.
Car c’est tout le vivant non-humain qui permet à l’humain de respirer, de boire, de manger… de vivre.

Avec Philippe Boisneau : Scientifique de formation, spécialiste de l’eau et des poissons. Pêcheur professionnel de Loire. Et l’un des 190 membres du comité de bassin Loire-Bretagne.

En écoute : Nos reportages sur le criminel scandale des méga-bassines. Et nos émissions sur l’anthropocène et le capitalocène.

Balade sur une île de Loire

La situation de l’eau douce et potable est effrayante.

Pollution de l’eau. Pénurie d’eau.
Sécheresses. Incendies et autres feux de forêts…

Depuis le temps qu’on nous parle de réchauffement climatique.

Cet épouvantable été 2022 annonce les étés à venir.

Notre série de récents reportages sur les méga-bassines annonce de nombreuses émissions autour de l’eau douce et potable, qui manque déjà.

Tranquille entrée en matière avec cette balade insulaire et sylvestre avec Sam, animateur à l’Ecole de Loire la Rabouilleuse.

Qui nous emmène voir des arbres sur une île de Loire…

Aucard-bone – Épisode 4 – Calcul final du bilan carbone du festival Aucard de Tours – Arrêtons de prendre la bagnole ! (Quand on peut).

Cactus totem d’Aucard 2017.

Sur les 172 tonnes de CO2 produites par l’édition 2019 du festival, près de 80% sont dues au pétrole brulé pour les déplacements des festivaliers et des artistes…

Hé les copains-pines, si on a le choix, prenons plutôt le tram ou le vélo pour nous rendre au festoche…

Aucard-bone – Bilan carbone du festival Aucard de Tours – Épisode 3 – Saloperie de pétrole !

L’affiche du festival Aucard 2020… qui n’a pas eu lieu.

Toujours avec Val, consultant en environnement, lancé sur le calcul du bilan carbone d’Aucard de Tours, le festival de Radio Béton.

Dans ce travail, Val était assisté par notre copine Steph, Stéphanie Hategan, qui nous a quittés en ce printemps 2022.
Et à qui cette série d’émissions est dédiée…

Où il ressort que sur les 172 tonnes de CO2 produites par l’édition 2019 d’Aucard, 80% sont dues au pétrole brûlé par le déplacement des festivaliers et des artistes… Hé les amis ! On peut faire moins pire en évitant de prendre la voiture… quand c’est possible…