Ukraine – La première victime d’une guerre, c’est toujours la vérité

Attention aux propagandes de guerres.

L’agression de l’Ukraine par la Russie de Poutine est une horreur criminelle.

Mais Poutine n’a pas le monopole de la propagande.

Depuis 1917, (que la Russie soit « communiste » ou pas), les médias dominants occidentaux nous abreuvent eux aussi de propagande anti-russe.

Notre ami Cédric, le prof d’Histoire-Géo, nous dit ce qu’il explique de ce conflit à ses élèves de lycée…

Image : Caricature de 1882.

Sabotage de l’école – Un peuple éclairé serait-il incontrôlable ?

Les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies sont au service de l’oligarchie financière. Et sabotent volontairement l’école. Dont l’enseignement de l’Histoire. On ne peut pas savoir où l’on va, si l’on ne sait pas d’où l’on vient.

Pour les dominants, mieux vaut un troupeau sans passé, sans compréhension de son présent… et donc sans avenir… Plutôt qu’un peuple instruit, éclairé, conscient de l’Histoire de ses conquêtes sociales… 

Et si, conscients de notre Histoire populaire, les gens s’en inspiraient ?

Certes, depuis Jules Ferry, l’enseignement de l’Histoire a toujours été de la propagande.

Avec nos profs d’Histoire-Géo en colère, autour de l’article du Monde Diplomatique : La « bienveillance », cache-misère de la sélection sociale à l’école.

 

Manuels scolaires – Histoire ou propagande ?

Il y a encore peu de temps, l’école de la République enseignait la supériorité de la « race blanche ». Ci-dessus : Une planche de dictionnaire.
Notre ami André a enseigné l’Histoire-Géo pendant toute une carrière. Malgré les réformes successives, malgré la hiérarchie, malgré l’idéologie capitaliste instillée dans les programmes scolaires… André a tenté de transmettre une Histoire honnête, parfois très éloignée des analyses officielles…

Les programmes et manuels scolaires seraient-ils des outils de propagande ?

L’enseignement de l’Histoire selon l’Education Nationale est-il compatible avec l’éthique de l’historien ?

Il y a-t il une volonté délibérée du pouvoir de saboter l’enseignement de l’Histoire ?  De faire de nous un peuple sans passé, flottant dans un éternel présent… sans avenir ?

On vous le dit souvent : On ne peut pas savoir où l’on va… si l’on ne sait pas d’où l’on vient… Faire de l’Histoire, c’est faire de la politique au présent !

Première diffusion : 2012.