Publié le 19 avril 2020
Comme pour la précédente émission, on fait ici de la politique autrement qu’en parlant … En écoutant « la nature » pour laquelle il faut nous battre.
Pour que dehors ne soit plus jamais une zone interdite… mais devienne le merveilleux jardin que cette planète devrait être… Et si sapiens-sapiens n’était pas aussi stupide qu’il l’a été jusqu’à présent ? … Et si on la faisait cette révolution écologiste, et donc anticapitaliste ?
A écouter : Nos émissions sur l’anthropocène et le capitalocène.
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AAhhh ! ! ! Ça fait le plus grand bien.
Merci Jibé !
Et dire qu’elle n’est qu’à une poignée de kilomètres…
Merci de nous offrir cette deuxième balade !
C’est génial. Je peux te dire que j’en ai profité à 100%. En plus, tu as un vrai talent pour introduire et décrire.
Vraiment une super idée ces balades !
Continue comme ça !
Fabrice
Salut !
Tu m’as vraiment surpris. Ces reportages ont fait émerger ce rapport très beau que tu as à la nature. Il y avait quelque chose de très personnel : tes rêveries devant la mer, ton imagination face au blockhaus. On découvre que c’est par ce biais, très intime, que tu trouves ton moteur politique : préserver ce monde par la dénonciation du capitalisme. Inattendu !
Comme je l’ai écrit dans le commentaire, tu as un véritable talent pour décrire, faire vivre des scènes (le blockhaus qui sent le pipi : ça me parle ; penser que la vaguelette est la mort d’une immense onde qui a commencé peut-être à plusieurs centaines de mètres). Dès que j’ai le blues ou que j’étouffe entre quatre murs, tes deux émissions, j’en reprendrai une dose !
Bravo l’artisan et l’artiste !
Porte-toi bien !